Longuement pétri pour l'assouplir et le rendre malléable.
Impitoyablement malaxé au rouleau pour être bien sûr qu'aucun grain trop gros ne subsiste et qu'aucune aspérité suspecte ne vous échappe.
Le plus terrible, passé encore et encore dans la pasta machine, dans un sens, puis dans l'autre, à des épaisseurs de plus en plus fines, aplati entre deux plaques froides (pour être sûr qu'il ne reste pas de bulles) de laquelle il se décolle avec délice mais appréhension et s'il fallait y retourner ? Pourvu que le résultat ne nécessite pas un nouveau passage entre les rouleaux de la machine.
Et cerise sur le gâteau, enduit, dégoulinant de fimo liquide, froide, visqueuse, collante...
Et enfin, la libération il n'y aura pas besoin d'un ponçage, tout va bien ouf, prochain passage l'année prochaine, le temps pour le pauvre petit pain de fimo de se refaire une santé et de reprendre un peu de volume.
Bon sang, mais qu'est ce qu'elle nous délire encore la Martine ???
Rien, je sors d'une mammographie, mais vous aviez dû comprendre, surtout vous les filles.
Pour ceux qui veulent en savoir plus sur le travail de la Fimo allez faire un tour ici