Donc hier, pour Jill Bill et sa Cour de Récré nous avons planché sur le prénom Jésabelle.
Il m'en a donné du fil à retordre ! C'était avant tout cette chanson de Piaf (et Aznavour et Guétary) qui s'imposait systématiquement à moi. Et reconnaissez que ça n'allait pas bien avec Bigorbourg.
Heureusement, j'ai eu l'idée d'aller regarder les paroles de plus près et j'ai redécouvert ces deux vers "Les souvenirs que l'on croit fanés, Sont des êtres vivants"
Comme en ce moment j'ai le nez plongé dans les vieilles photos de famille, et que parfois je ne peux pas m'empêcher de
regretter de ne pas en savoir plus certaines d'entre elles, qui les a prises, où, quand, pourquoi et qui sont ces personnes, bref, Jezebel s'est transformée en Jésabelle et j'aimerais vraiment
qu'elle me donne un coup de main pour que certains visages retrouvent un nom.
Jezebel... Jezebel...
Ce démon qui brûlait mon cœur
Cet ange qui séchait mes pleurs
C'était toi, Jezebel, c'était toi.
Ces larmes transpercées de joie,
Jezebel, c'était toi... Jezebel, c'était toi...
Mais l'amour s'est anéanti.
Tout s'est écroulé sur ma vie,
Écrasant, piétinant, emportant mon cœur,
Jezebel... Mais pour toi,
Je ferais le tour de la terre,
J'irais jusqu'au fond des enfers.
Où es-tu ? Jezebel, où es-tu ?
Les souvenirs que l'on croit fanés
Sont des êtres vivants
Avec des yeux de morts vibrants encore de passé
Mais mon cœur est crevé d'obsession.
Il bat en répétant
Tout au fond de moi-même
Ce mot que j'aime,
Ton nom...
Jezebel... Jezebel...
Mais l'amour s'est anéanti.
Tout s'est écroulé sur ma vie,
Écrasant, piétinant, emportant mon cœur
Jezebel... Mais pour toi,
Je ferais le tour de la terre,
J'irais jusqu'au fond des enfers
En criant sans répit,
Jour et nuit,
Jezebel... Jezebel...
JEZEBEL...