"Faire du jardinage, c'est participer activement aux mystères les plus profonds de l'univers" Thomas Berry
"C'est beau un jardin qui ne pense pas encore aux
hommes" Jean Anouilh
"Faire du jardinage, c'est participer activement aux mystères les plus profonds de l'univers" Thomas Berry
"C'est beau un jardin qui ne pense pas encore aux
hommes" Jean Anouilh
"Pas du tout, dit Adamsberg qui se retrouvait brusquement nanti de sept cadavres sous les pieds et d'une revenante à tête de noix".
"Navré, Danglard. J'avais rendez-vous impérieux, et pris depuis un an.
Avec ?
Avec le printemps. Si vous le négligez, il est capable de s'en aller bouder".
"Les vieilles mamans, dit Adamsberg. Si seulement le monde pouvait ressembler aux rêves des vieilles mamans".
"Parce que c'est notre boulot, de finir les histoires. Si vous voulez les commencer, redevenez professeur. Si vous voulez les achever, restez flic".
"La taille. Croyez-vous que la taille change quelque chose à la réflexion, quand la tête est séparée des pieds par 1,90 mètres ? Quand le sang a tout ce chemin à faire pour monter et descendre ? Croyez-vous qu'on pense alors plus purement sans que les pieds ne s'en mêlent ? Ou à l'inverse, un gars minuscule penserait-il mieux que les autres, de manière plus rapide et plus concentrée ?"
"Oh, n'insultez jamais une femme qui tombe, qui sait sous quel fardeau la pauvre âme succombe".
"La télévision du café retransmettait un match de football bruyant. Le commissaire regarda un moment les hommes qui couraient en tous sens sur le gazon, dont les mouvements étaient passionnément suivis par les clients qui mangeaient tête levée vers l'écran. Adamsberg n'avait jamais compris cette affaire de match. Si cela plaisait à des gars de lancer un ballon dans un but, ce qu'il pouvait très bien comprendre, à quoi bon installer tout exprès une autre bande de gars en face pour vous empêcher de lancer ce ballon dans le but ? Comme s'il n'existait pas, à l'état naturel, assez de gars sur terre qui vous empêchaient sans cesse de lancer vos ballons où cela vous chantait".
"Tout se sait, et surtout, ce qui se tait".
"C'est le principe de la noix. Vous appuyez dessus, et cela se casse. Essayez donc de casser du miel".
"Mais cela reste une histoire. Et les histoires sont écrites pour les empêcher d'advenir dans la vie".
"C'est une chose de mourir, dit Robert. Mais quand on n'a pas vécu, c'est pis".
"La brusquerie d'une sensation n'est que le terme d'une progression cachée, qu'on a pas forcément perçue".
"C'est difficile de se concentrer dans le vide".
"Tu ne peux pas tout enseigner à un homme, tu peux seulement l'aider à le trouver en lui" Galilée
"On
le sait que c'est l'intention qui compte, mais ça aide de la farcir d'un brin de discernement, de temps en temps"
Antonine Maillet
«L’homme inventa des millions d’objets inutiles, généralement absurdes, tout cela pour produire parallèlement les quelques objets indispensables au bien-être du chat : le radiateur, le coussin, le bol, le plat à sciure, le pêcheur breton, le tapis, la moquette, le panier d’osier, et peut-être aussi la radio puisque les chats aiment la musique» Jacques Sternberg
Le treizième conte - Diane Setterfield
Deux citations de Margaret, qui se rapprochent beaucoup de ce que je ressens pour les livres.
"Pour moi, voir, c'est lire"
"La lecture ne m'avait jamais trahie. Avait toujours été la seule chose sur
laquelle je pouvais compter"