Deux Anne Sylvestre pour le prix d'une. Anne Tendresse et Anne Rieuse !
Deux Anne Sylvestre pour le prix d'une. Anne Tendresse et Anne Rieuse !
Une aile d'ange
De l'eau telle de la soie
Viens dans mon rêve
Aujourd'hui, je vous offre quelques coeurs
Un coeur de feuille
Un coeur de bois
Un coeur de cygne
Un coeur de chat
Petit casse-tête de la semaine. N'ayant pas d'appareil insubmersible, vous devrez vous contenter de la surface.
Eau scintillante
Ronde infatigable
Reflets diamantés
Bateau de terre
L'eau s'ouvre devant ta proue
Vogue au lointain
Voilà des jardinières 100 % écologiques et recyclables. Merci à Mima de m'avoir remis ces photos en mémoire avec son article.
Et en plus celle-ci fait une parfaite gargouillarbre, même si elle est un peu près des paquerettes ! Mais si, il y a bien un museau bizarre sur la droite et des pattes qui dépassent !
Je ne sais pas s'il s'agit d'Erilyn ou d'Elysée, mais Mamounette a super bien réussi à la photographier en train de jouer. C'est par ici
Un Défi du Samedi nous avait demandé de nous pencher sur la syllabe LU. J'avais donc écumé le Petit Larousse que je remercie vivement de sa collaboration.
Bien chers amis.
Aujourd'hui je prends la liberté de vous faire une conférence sur la syllabe LU. J'attendais cette possibilité depuis belle lurette. Rien à voir, je le précise avec un éventuel sponsor fabricant de gâteaux. Non, avec l'aide de Monsieur Larousse je vous invite à me suivre dans le monde étonnant et fascinant de la LU. Mais laissez-moi d'abord m'installer à mon lutrin, chausser mes lunettes et allumer le luminaire mis à ma disposition.
Bien, alors voilà !
Sur le coup d'une lubie vous pourriez éventuellement faire preuve de lubricité et vous précipiter luxurieux, lubrifiant à la main, dans un lupanar pour vous goinfrer d'œufs de lumps. Joyeux luron revêtu de lurex, faites quand même attention à ne pas attraper un lumbago cela ferait désordre en rentrant lundi au bureau.
Vous pourriez aussi vous transformer en poète et ,au son du luth, regarder par la lucarne luire la lune dans le ciel tel le lumignon céleste qu'elle est. Vous en profiteriez pour admirer le vol des lucioles et essayer de deviner le passage d'êtres lucifuges tel le vampire lugubre.
Vous pourriez également, comme un charmant lulu, vous précipiter dans une ludothèque et entamer de folles parties de jeux avec un luxembourgeois, un lusitanien et un luthérien de passage. Evitez toutefois la lutte, nous ne voudrions pas que vous vous luxiez quelque chose et que vous vous arrachiez la luette à force de brailler.
Si vous être bucolique, embusquez-vous dans la luxuriante luzerne et épiez le charmant lutin en train de lutiner la minuscule lucilie tout en chevauchant un lucane bien lustré.
Plein d'entrain, vous avez aussi la possibilité de dévaler les pistes allongé sur une luge, qui lunatique, s'amusera à faire un triple lutz et à vous planter dans le premier tas de neige venu.
Enfin, méfiez-vous de Lucifer qui pourrait vous faire perdre votre lucidité en jouant avec votre esprit de lucre ou de luxure, vous seriez contraint pour retrouver la lumière de vous plonger dans des eaux lustrales.
Je pourrais encore vous parler de lucernaire, de luddisme, de luffa, de lumachelle, de luminisme, de luminophore, de lunule, de lupin, de lupuline, de lupus, de lusin et autres lut, lux ou luzule.
Mais allons plutôt profiter du lunch luxueux qui nous est offert par notre lumineux hôte, j'ai nommé le ludique Défi du Samedi. Je vous remercie pour votre attention !
Alors là nous avons la chatière classique
Et ici la chatière pour chat fainéant n'ayant pas l'intention de sauter par dessus le portail
Mais pour cet animal ci, comme s'appelle ce passage ?
Pas de couleur dans les chansons aujourd'hui, nous allons avec Martine Smilblick et la communauté "En avant la musique" vous proposer un petit jeu. Nous vous en dirons plus long bientôt.
En attendant je vous présente Pierre Rapsat, un excellent artiste belge disparu trop tôt, que m'a fait découvrir Sandra de "Nouvelles en Vrac", je ne le connaissais pas du tout et j'ai été séduite. Cette chanson lui a inspiré un feuilleton fantastique que je vous invite à déguster comme je l'ai fait. Le début c'est ici.
Et voici les paroles
Lui
C'est un fou
Toujours à rôder
Comme un loup
Il aime les nuits blanches
Les nuits noires
Ses jeux sont étranges
Son regard
A la couleur de la nuit
La couleur de la nuit
Elle
Un voyou
Quelques fois se déguise
Met un loup
Elle a son langage
Ses bijoux
Ses jeux son nuage
Tout comme vous
Passagers de la nuit
Passagers de la nuit
Quand se couche le soleil
Les zombies se réveillent
Au fond du tunnel
Ils se sont reconnus
A l'aurore
La lumière du jour
Sur leurs corps
Deux ombres chinoises
Se dessinent
Quand le matin les croise
S'éliminent
Quand l'ombre s'allonge
Touche leur voile
C'est la fin du songe
Les étoiles
Ils rentrent dans la nuit
Apparaissent dans la nuit
Disparaissent dans la nuit
Passagers de la nuit
Quand se couche le soleil
Les zombies se réveillent
Au fond du tunnel
La lune les appelle
Aux portes de la citadelle
Pour la fête éternelle
La tribu est fidèle
Quand se lève le soleil
Ils regardent le ciel
Rentrent dans le tunnel
La tribu a sommeil
Pour eux c'est la nuit
Pour eux c'est la nuit
Pour eux c'est la nuit.
C'est le thème de Photographe du Dimanche pour cette quinzaine. Je vais donc en profiter pour vous présenter un peu plus mon père, mon papa, mon patoune en image surtout.
Mon père, ce héros au sourire si doux disait Victor Hugo.
Et c'est vrai que mon père a toujours beaucoup compté pour moi. Il est parti il y a déjà 7 ans, il ne se passe pas un jour sans que je pense à lui et je suis
toujours furieuse que la maladie d'Alzeihmer lui ai volé sa vie, mais les bons moments sont toujours les plus présents.
Le voici donc bébé (né en 1927).
Pompier de Paris pendant 20 ans, il a toujours été un grand sportif. Derrière, le mur sur lequel je faisais de l'équilibre ! Un pro de l'équilibre aussi bien à 20 ans, qu'à 40.
Champion de France militaire du 400 mètres haie.
Décoré notamment de la médaille militaire.
Ce qui ne l'a pas empêché d'être un mari amoureux de ma mère jusqu'au bout.
Un père adorable et qui s'occupait de moi, rare en 1957.
Ici au ski, admirez les pulls et les bonnets assortis. C'est ma grand-mère maternelle qui tous les ans nous tricotait à tous les trois le même modèle en petite, moyenne et grande taille.
Le voici avec Fleur notre chienne dont je vous ai déjà raconté une partie de l'histoire. Mon père, son dieu !
Et on voudrait que je sois sérieuse. C'était un super professionnel, mais comme vous voyez ça ne l'empêchait pas d'être parfois bien déjanté avec un sens de l'humour un peu "légiste" comme beaucoup de membres des professions confrontées au stress et à la mort.
Je t'aime mon Patoune !