Eh bien, si, devinez d'où viennent ces cailloux !
Me revoilou avec la suite de ma petite histoire.
Ca y est c'est notre tour, nous allons enfin pouvoir porter secours.
On vient de faire sortir notre capsule du garage.
Nous nous élançons au travers d'un long tunnel en pente raide, il faut s'accrocher, je vous le dis.
Enfin, nous aboutissons dans une immense grotte sombre et nous naviguons quelques instants sur une étendue d'eau glauque.
Il est temps d'abandonner la capsule pour continuer notre chemin à la nage.
Nous nous immergeons donc ce cloaque et commençons notre progression.
Après une difficile avancée, nous arrivons enfin à une des parois de la grotte et nous faufilons dans une faille.
Nous sommes alors happés par un flot épais et rapide qui nous entraîne avec lui vers notre cible.
Mais il y a encore bien des obstacles à franchir et bien de la route à faire avant de pouvoir accomplir notre mission.
Heureusement que nous sommes bien protégés car le flot sombre n'arrête pas de nous ballotter de-ci, de-là, nous nous cognons sans
cesse aux parois de ce qui est un tunnel relativement étroit et curieusement élastique.
Tout-à-coup, ce qui n'était qu'un bruit de fond devient un puissant grondement et nous dévalons dans une autre gigantesque caverne, c'est de là
que vient cette pulsation. Une porte s'ouvre devant nous et nous sommes secoués, chahutés par cette cataracte.
Après une brève période de répit, une nouvelle porte se dresse devant nous et s'ouvre elle aussi et à nouveau nous sommes entrainés par le flot impétueux qui semble devenu plus clair, comme
lumineux.
Brusquement, nous sentons que la cible est proche, nous ralentissons et franchissons à nouveau une barrière membraneuse.
Maintenant nous sommes dans un univers tout différent, grisâtre, luminescent et là-bas nous la voyons enfin la masse rouge pulsante qui est
notre but.
Nous nous y précipitons et doucement nous rétablissons la circulation, nous nous interposons en bouclier entre la douleur et le récepteur de cette douleur. En quelques instants, la situation est
réglée et nous nous dissolvons doucement dans le flux sanguin qui nous entraîne à nouveau.
Ouf, ça va mieux, j'avais un de ces mal de crâne je ne vous dis que ça. Une gélule de paracétamol, 10 minutes de repos et bon sang qu'est ce que je me sens bien.
Ca y est c'est notre tour, nous allons enfin pouvoir porter secours.
On vient de faire sortir notre capsule du garage.
Nous nous élançons au travers d'un long tunnel en pente raide, il faut s'accrocher, je vous le dis.
Enfin, nous aboutissons dans une immense grotte sombre et nous naviguons quelques instants sur une étendue d'eau glauque.
Il est temps d'abandonner la capsule pour continuer notre chemin à la nage.
Nous nous immergeons donc ce cloaque et commençons notre progression.
Après une difficile avancée, nous arrivons enfin à une des parois de la grotte et nous faufilons dans une faille.
Nous sommes alors happés par un flot épais et rapide qui nous entraîne avec lui vers notre cible.
Mais il y a encore bien des obstacles à franchir et bien de la route à faire avant de pouvoir accomplir notre mission.
Heureusement que nous sommes bien protégés car le flot sombre n'arrête pas de nous ballotter de-ci, de-là, nous nous cognons sans
cesse aux parois de ce qui est un tunnel relativement étroit et curieusement élastique.
Tout-à-coup, ce qui n'était qu'un bruit de fond devient un puissant grondement et nous dévalons dans une autre gigantesque caverne, c'est de là.
Que quoi, que quoi, s'interrogent mes lectrices et lecteurs que je laisse ignominieusement en plan jusqu'à demain. Mais vous avez peut-être deviné de quel
sauvetage il s'agit !
Spirales infernales (16 nouvelles cultes de terreur) - Jeffery Deaver
Mon avis : Rien à dire de plus que la deuxième partie du résumé decitre. C'est un excellent livre, chaque nouvelle fait mouche. Entre les coupables moins coupables que les innocents, les victimes pas si victimes que ça, les coupables qu'on est plutôt satisfaits de voir s'en tirer, pas le temps de souffler. Ces nouvelles sont une façon de voir la justice qui n'a rien à voir avec la morale. De toutes façons à chaque fois que vous avancez un pronostic sur qui est qui et qui a fait quoi vous vous faites avoir dans les grandes largeurs (sauf pour la première nouvelle où j'avais deviné ce qui se passait réellement, après ça zéro pointé). Bref, si vous aimez les nouvelles et les policiers faites vous plaisir.
J'ai sorti mon cahier à couverture rouge de mon grand sac.
Ces deux cadenas qui m'empêchait d'entrer dans la propriété n'allaient pas m'arrêter longtemps, non mais !
De mon grand sac, je tirais également un crayon.
Je me mis à dessiner des clefs.
Je fouillais à nouveau dans mon sac et en retirais une paire de ciseaux.
Hop, voilà les clefs découpées.
Nouveau passage dans mon sac et voilà la machine outil spéciale fabrication de clefs.
Un autre farfouillage amena à la surface un beau morceau d'acier.
Après, enfantin, sortir la dynamo du sac, brancher le tout, un peu de doigté et toc, deux belles clefs neuves pour ces sacrés cadenas.
Et voilà, je range cahier, crayon, ciseaux, machine outil et dynamo dans mon grand sac et direction l'entrée.
Soyons juste, j'ai fait tout ce travail juste pour le fun, parce qu'en réalité, il me suffisait d'escalader la grille pour passer, voire de sortir le parapluie ascensionnel.
Mais, comme on dit, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
D'où me vient ce sac étonnant, d'une amie très chère et très débrouillarde qui s'appelle Mary.